Hideaway, The Last Son (Agnès Merlet, 2011)


Comme tous les garçons de sa ligné James Furlong a un don, c'est aussi et surtout un malédiction. Quand il est trop fortement contrarié ou qu'il est en danger, la nature, les animaux et les gens meurent autour de lui.

Le début du film laisse présager du bon avec quelques pointes d'humour et de belles images. L'idée est bonne elle aussi, mais quand l'histoire d'amour commence cela devient long, convenue et un peu trop scolaire. L'humour n'est plus là et les quelques scènes réussies n'arrivent pas à faire décoller le film. Reste un genre de conte, un peu naïf ; de belles images et l'envie de décliner l'idée avec un scénario plus construit ou réalisé avec un peu plus d'audace.