The good, the bad & the queen, Parlophone, EMI, 2007.
Y a Damon Albarn le type de Blur et de Gorillaz, Paul Simonon le bassiste des Clash que l'on retrouve aussi sur Down In The Groove de Bob Dylan, Simon Tong le guitariste de Verve qui officiait sur le deuxième album de Gorillaz et Tony Allen le batteur Afrobeat, compagnon de route de Fela Kuti de 1968 à 1979. Une rencontre de différents styles sous le signe du coton. Des ballades désuètes aux charmes étranges avec des petits bruits cachés un peu partout. Tout le monde est à sa place et tout le monde semble barré au loin. Les tubes comme History Song, 80's Life, Herculean, Green Fields, The good, the bad & the queen, s'impriment dans la caboche et y délivrent doucement leurs bienfaits sur plusieurs écoutes. Et puis on se rend compte que chacune des tounes de l'album est une petite merveille qu'on a du mal à attrapper, comme un rêve qui taille la route, mais c'est déjà trop tard on est conquis et on sait qu'on va devoir se repasser la galette encore une fois.