Anga, Echu Minga, World Circuit, Night & Day, 2005.
Déjà repéré avec l'Afro Cuban All Star, Steve Coleman, Roy Hargrove, Omar Sosa, Ry Cooder ou encore au sein de Irakere, voici le premier et dernier album d’Anga sous son nom (il nous a quitté à Barcelone le 9 Août 2006). Echu Minga est un voyage entre l’Argentine, les Caraïbes, les USA, Cuba et le Mali en compagnie d’une flopée d’invités (plus de 40 musiciens) : Magic Malik à la flûte, Dee Nasty aux platines, le bandonéoniste Pablo Nemirovsky, les pianistes Roberto Fonseca, Ruben & Rubencito Gonzalez, Chucho Valdes, David Alfaro, Cachaito Lopez, Baba Sissoko...
Véritable métissage de culture latin jazz où se croisent flamenco, danzon, cajon, rumba, buleria et hip hop, on y trouve aussi un magistral hommage à Coltrane avec un Love Supreme à coups de tambours bata, de congas, de coro, de cuivres portés par les cordes. Un surprenant Round’ Midnight de Thelonious Monk joué avec sept congas pour une exploration mélodique de l’instrument.
Inventif et indispensable.
Présentation d'Echu Minga, Part 1, 2, 3 & 4
Véritable métissage de culture latin jazz où se croisent flamenco, danzon, cajon, rumba, buleria et hip hop, on y trouve aussi un magistral hommage à Coltrane avec un Love Supreme à coups de tambours bata, de congas, de coro, de cuivres portés par les cordes. Un surprenant Round’ Midnight de Thelonious Monk joué avec sept congas pour une exploration mélodique de l’instrument.
Inventif et indispensable.
Présentation d'Echu Minga, Part 1, 2, 3 & 4