Spontanéité, belle voix en or, explosions de guitare et chamans... voilà le florilège de mots qui flottent dans l'air à l'écoute d'Hollow Bones le 6 ème opus des Rival Sons. Habitué des premières partie de Deep Purple, Black Sabbath ou Aerosmith le groupe de Los Angles a montré au Hellfest (avec notamment une belle prise de risque sur un chanson quasi a capella) qu'il est aussi bon sur disque que sur scène.
Enregistré au studio LCS et produit à l'ancienne (en analogique) par Dave Cobb (comme pour les autres albums), Hollow Bones c'est 9 chansons sur deux faces, le tout après avoir intensément tourné. Mis en boîte en trois semaines et demie avec une ou trois prises par titre et sans avoir travaillé les morceaux avant de rentrer en studio (selon l'interview donnée à Rock Hard n°166) c'est, du coup, presque de l'improvisation qui a été gravé dans la cire. Mais de l'improvisation sur des bases solides et éprouvées : Rival Sons, c'est du Classic Rock... de celui qui se retrouve maintenant dans les rayons, les salles et les festival de metal parce que c'est sûrement là que le genre a trouvé refuge (avec Status Quo ou Foreigner)... Alors à quand Jack White à Clisson au mois de Juin ?
Enregistré au studio LCS et produit à l'ancienne (en analogique) par Dave Cobb (comme pour les autres albums), Hollow Bones c'est 9 chansons sur deux faces, le tout après avoir intensément tourné. Mis en boîte en trois semaines et demie avec une ou trois prises par titre et sans avoir travaillé les morceaux avant de rentrer en studio (selon l'interview donnée à Rock Hard n°166) c'est, du coup, presque de l'improvisation qui a été gravé dans la cire. Mais de l'improvisation sur des bases solides et éprouvées : Rival Sons, c'est du Classic Rock... de celui qui se retrouve maintenant dans les rayons, les salles et les festival de metal parce que c'est sûrement là que le genre a trouvé refuge (avec Status Quo ou Foreigner)... Alors à quand Jack White à Clisson au mois de Juin ?