De Stijl commence sur un air de Labamba survolté avec You're Pretty Good Loocking (For A Girl). Aux premières écoutes se dégagent quelques tubes : Apple Blossom, I'm Bound To Pack It Up, Truth doesn't make a noise... un peu comme si l'album III du Zeppelin se faisait là, à deux.
Ok j'ai un faible pour les formations réduites, mais en rock on a toujours un peu la trouille que ça tourne en rond, pas vrai ? Avec Jack White j'ai l'impression que la musique est toujours réinventée tout en restant blues dans le garage.
Ok j'ai un faible pour les formations réduites, mais en rock on a toujours un peu la trouille que ça tourne en rond, pas vrai ? Avec Jack White j'ai l'impression que la musique est toujours réinventée tout en restant blues dans le garage.
J'ai revendu pas mal de disque ces dernières années, en rock je me concentre sur quelques artistes. Les groupes auxquelles participe Jack White reste dans ma discothèque. À l'écoute de De Stijl je me dis que je me suis pas trop gouré sur mes focalisations. Après il faut voir, peut-être que la répétition de l'écoute - en plus de fonctionner comme une madeleine de Proust - enclenche des mécanisme qui font que l'on se met à aimer (encore plus) une œuvre.
Et puis le terrain avait été préparé par Bob Dylan, Led Zeppelin et AC/DC.
Et puis le terrain avait été préparé par Bob Dylan, Led Zeppelin et AC/DC.
The White Stripes, Apple Blossom