Il y a peu du côté de Saint André de Cubzac, près de la Dordogne, on m'a présenté un disque de Mama Béa Tekieslski. Cela me disait vaguement quelque chose. J'ai gardé ça dans un coin de ma caboche. Plus tard, par curiosité, je consulte la liste de Ma compilation dans un bac d'une médiathèque de Nantes... je tombe sur les titres Faire éclater cette ville, Les Glycines et Soleil, trois chansons que je connais toujours par cœur et dont je me rappelle chaque instant. Comme tout le monde, je garde un souvenir très net des images que me provoquaient certaines chansons de mon enfance.
Mama Béa Tekielski, Faire éclater cette ville
Le côté apocalyptique de ses titres collaient parfaitement à mes centres d'intérêts (qui sont sensiblement resté les même...) : il était alors tout à fait possible - thématiquement parlant - de faire cohabiter Mama Béa et Iron Maiden sur une compilation.
Mama Béa Tekielski, Les Glycines
Last But Not Least, Soleils (avec cette image de Boeing qui sombre dans l'océan) me foutait une sacré trouille.
Mama Béa Tekielski, Soleils
Mama Béa Tekielski, Les Glycines
Last But Not Least, Soleils (avec cette image de Boeing qui sombre dans l'océan) me foutait une sacré trouille.
Mama Béa Tekielski, Soleils
Mama Béa Tekielski, Ma Compilation, Mafalda Connection / BMG Music, 1994