Dj Cam Quartet, Diggin', inflamable Records, 2009 : propre, insipide et sirupeux. Tout à fait le genre de chose que l'on craint quand les Dj se mettent avec des jazzmen. La voix de la chanteuse Inlove est particulièrement niaise. Je m'étais procuré la chose parce qu'il y avait le pianiste Eric Legnini dedans. C'est une grosse déception.
Yodelice, Tree of Life, Mercury, 2009. Un vide complet, un folk repompé de bout en bout et où tout semble être dans la posture. C'est plat et entendu, en mieux, je ne sais plus combien de fois. Tiens, en passant, je vous engage à lire cet article au sujet du marketing musical... le cas Yodelice.
Philip Glass, A Madrigal Ocean, Orange Mountain Music, 2009. Je me suis emmerdé ferme à l'écoute du dernier opus de Philip Glass, répétitif à la fois par rapport à ce qu'il a déjà produit et répétitif tout court. Bon après, du répétitif chez Glass, c'est pas nouveau, mais chiant comme ça... Enfin, pour ce troisième plantage je veux bien me dire que ce n'était pas le bon jour et retenter la chose.
Et pour se remettre d'aplomb, quelque chose dont on va causer bientôt. Les projets auxquels participe Jack White (à part la chanson du dernier James Bond plutôt chiante) tiennent particulièrement bien la route.
The Dead Weather, Die by the drop
Yodelice, Tree of Life, Mercury, 2009. Un vide complet, un folk repompé de bout en bout et où tout semble être dans la posture. C'est plat et entendu, en mieux, je ne sais plus combien de fois. Tiens, en passant, je vous engage à lire cet article au sujet du marketing musical... le cas Yodelice.
Philip Glass, A Madrigal Ocean, Orange Mountain Music, 2009. Je me suis emmerdé ferme à l'écoute du dernier opus de Philip Glass, répétitif à la fois par rapport à ce qu'il a déjà produit et répétitif tout court. Bon après, du répétitif chez Glass, c'est pas nouveau, mais chiant comme ça... Enfin, pour ce troisième plantage je veux bien me dire que ce n'était pas le bon jour et retenter la chose.
Et pour se remettre d'aplomb, quelque chose dont on va causer bientôt. Les projets auxquels participe Jack White (à part la chanson du dernier James Bond plutôt chiante) tiennent particulièrement bien la route.
The Dead Weather, Die by the drop