Un roman comme je les aime. Qui ne traîne pas en longueur et raconte une bonne histoire, avec tout le rythme et le style nécessaires.
La quatrième de couv’ évoque Peckinpah et Tarantino ; pour une fois elle n’est pas mensongère. Il y a cette ambiance de gens sur le déclin, l’autodestruction au bout du chemin, El Güero, le tueur dans sa vieille Impala, qui ramollit et voudrait bien remiser son flingue. Forcément l’histoire part en vrille, braquage, kidnapping et règlement de compte final façon duel de western ou encore scène à la John Woo quand 15 flingues s’entrecroisent. Côté forme, l'auteur a choisi de faire changer le point de vue à chaque chapitre, passant par le regard d'un des différents protagonistes, et adaptant le style en conséquence. Ça va vite !
Entre traficantes et princesse punk, le roman sent la chaleur et le désert, entre Mexique et Etats-Unis. Je n'en dis pas plus, le roman est bien assez court. Bon choix des éditions Moisson Rouge !
La quatrième de couv’ évoque Peckinpah et Tarantino ; pour une fois elle n’est pas mensongère. Il y a cette ambiance de gens sur le déclin, l’autodestruction au bout du chemin, El Güero, le tueur dans sa vieille Impala, qui ramollit et voudrait bien remiser son flingue. Forcément l’histoire part en vrille, braquage, kidnapping et règlement de compte final façon duel de western ou encore scène à la John Woo quand 15 flingues s’entrecroisent. Côté forme, l'auteur a choisi de faire changer le point de vue à chaque chapitre, passant par le regard d'un des différents protagonistes, et adaptant le style en conséquence. Ça va vite !
Entre traficantes et princesse punk, le roman sent la chaleur et le désert, entre Mexique et Etats-Unis. Je n'en dis pas plus, le roman est bien assez court. Bon choix des éditions Moisson Rouge !
Bernardo Fernandez, Une saison de scorpions, Moisson Rouge, 2008, 14 euros, 178p.