Cela faisait quelques fêtes de la musique que je laissais de côté, parce que mes oreilles sont devenues sensibles et qu’un boum boum boum un peu trop prononcé a vite fait de les agacer. Mais en ce 21 Juin pas pluvieux on a pris la voiture et on s’est arrachés direction la cambrousse Nantaise, loin de la ville dans un petit village paumé. Jans. Ambiance bonne franquette et la saucisse, les tomates, le pain, le riz étaient bons ; la bière aussi que je me suis enfilé tranquille à l’ombre des arbres, à l’ombre du chapiteau, au soleil assis en terrasse improvisée...
C’est là que j’ai vu pour la deuxième fois les Cowboy Sixters. La première fois c’était dans un bar de Nantes, rive droite ; le gazier qui s’occupe de composer m’avait dit « on fait une musique inclassable, ce qui se rapprocherait le plus ce serait les Violent Femme ». Putain que je m’étais dit, en voilà un qui place la barre un peu haut. Avec un son abominable et augmenté de PJ des Orange Blossom, surprise de chez le grand faiseur, les Cowboy Sixters se sont hissés, dans les compositions, au niveau indiqué. J'en ai profité pour faire danser la jeune demoiselle qui tiens maintenant la rubrique Je notule sur Dj Duclock. Pour ce deuxième concert avec un son beaucoup plus supportable, ils continuent à surprendre et régaler les oreilles. Le guitariste électrique, Mathieu, a pris une sacrée assurance et assure les chœurs pour porter la voix d’Alain, une bonne voix avec des morceaux qui accrochent dedans, une voix qui n’est pas sans rappeler, sur certains titres, le phrasé de Bob Dylan. Le bassiste pose un son rond qui fait un bon contrepoint avec les aigues de la guitare. Le batteur envoie du bois pour alimenter le brasier, un brasier bien cadré par la guitare sèche qui assure une partie de la rythmique. Il se passe quelque chose quand on écoute les Cowboy Sixters. Des tounes comme Truly loved by you ou Peace 4 my time et So long on the road sont de véritables tubes en puissance. Chacun des membres apporte quelque chose, c'est là la marque des grands groupes, non ?
Les Cowboy Sixters ont sorti une démo que l’on peut écouter sur leur Myspace. Dans ces quelques titres on entend se croiser les chemises à carreaux du folk et les jeans troués du rock. Les ombres de Bob Dylan et du Sonic Youth planent là-dessus, dans les oreilles ça donne quelque chose de bon et original ; le cul dans l'herbe, la bière à la main, à Jans, je me suis dit que le monde était riche. Merci les gars.
C’est là que j’ai vu pour la deuxième fois les Cowboy Sixters. La première fois c’était dans un bar de Nantes, rive droite ; le gazier qui s’occupe de composer m’avait dit « on fait une musique inclassable, ce qui se rapprocherait le plus ce serait les Violent Femme ». Putain que je m’étais dit, en voilà un qui place la barre un peu haut. Avec un son abominable et augmenté de PJ des Orange Blossom, surprise de chez le grand faiseur, les Cowboy Sixters se sont hissés, dans les compositions, au niveau indiqué. J'en ai profité pour faire danser la jeune demoiselle qui tiens maintenant la rubrique Je notule sur Dj Duclock. Pour ce deuxième concert avec un son beaucoup plus supportable, ils continuent à surprendre et régaler les oreilles. Le guitariste électrique, Mathieu, a pris une sacrée assurance et assure les chœurs pour porter la voix d’Alain, une bonne voix avec des morceaux qui accrochent dedans, une voix qui n’est pas sans rappeler, sur certains titres, le phrasé de Bob Dylan. Le bassiste pose un son rond qui fait un bon contrepoint avec les aigues de la guitare. Le batteur envoie du bois pour alimenter le brasier, un brasier bien cadré par la guitare sèche qui assure une partie de la rythmique. Il se passe quelque chose quand on écoute les Cowboy Sixters. Des tounes comme Truly loved by you ou Peace 4 my time et So long on the road sont de véritables tubes en puissance. Chacun des membres apporte quelque chose, c'est là la marque des grands groupes, non ?
Les Cowboy Sixters ont sorti une démo que l’on peut écouter sur leur Myspace. Dans ces quelques titres on entend se croiser les chemises à carreaux du folk et les jeans troués du rock. Les ombres de Bob Dylan et du Sonic Youth planent là-dessus, dans les oreilles ça donne quelque chose de bon et original ; le cul dans l'herbe, la bière à la main, à Jans, je me suis dit que le monde était riche. Merci les gars.