The Killers, Hot Fuss, Lizard King Record, 2004.

Alors voilà, mettre cette galette une fois dans la chaîne suffit à rendre accro. Le premier album des Killers est effectivement une tuerie. The Cure réssucité à Las Vegas en l'an 2004. Alléluia. Les mélodies de ces types là auraient réconcilié le bon, la brute et le truand tous les trois sur le même dancefloor. Rien d'étonnant à ce que l'album cartonne à 5 millions d'exemplaires vendus dans le monde. A chaque titre on se demande, mais bon sang où est-ce que j'ai entendu ça ? Depeche Mode, Cure, Placebo ? Ou peut être tout simplement que c'est parce que la mélodie est tellement imparable qu'il suffit de l'entendre une fois pour qu'elle se grave dans la cervelle et qu'on l'adopte comme un vieil hymne qu'on trainerait depuis l'enfance. Et toujours cette question, bon sang, comment des américains peuvent-ils sonner comme de la new wave ? Quoi que... cette guitare dans Glamourous Indie Rock n' Roll, ça serait pas celle du Blue Oyster Cult ? Ah non, c'est celle de Ziggy Stardust !